mercredi 10 février 2010

Laisse hurler les loups

ADEL EL ZAIM









Laisse hurler Les Loups
















Chapitre 1


Honnête l'homme qui, en observant ses lignes de vie, ne trouve rien qui le fait sentir honteux ou déshonorable . Je n'aimais pas , par exemple le mrriage traditionnel avec ses contraintes et ses charges . Je ne le supportais pas malgré que je l'ai fait deux fois ! J'aurais préféré ce qu'e nommons covention d'union libre (pacs) qui diffère de concobinage, plus libéral et moins obligatoire que l'avant-premier, le mariage solennel .

À mon avis, le Pacs renforce et développe la liaison et le cours de la vie du couple. J'aurais été "pacsisé" et je suis partisan de conseiller à mon fils et ma fille de faire ainsi . Que pensez-vous de cette petite folie d' idées bizarres ? Quant à moi, je persiste et signe. J'étais toujours épris de la beauté sans plannig, ni engagement légal .

Malheureusement, mon destin ne serait pas d'accord avec mes souhaîts! Dans les deux de mariages j'ai eus, leur itinéraire a commencé avec une sorte d'ordre irrévocable des surenchères : "allant un, allant deux, parti!" au moment où j'avais 21 et 31 ans. Maintenant, j'avoue que je n'avais pas été heureux jusqu'à ce que j'ai voulu, une fois pour toute , passer tout en revue .

En fait, j'avais été débarrassé ou je me suis débarrassé de ma première femme comme le destin voulu que je soie tombé amoureux d'une femme qui ne serait pas dénommée. Vous comprendrez cette position maladroite où j'étais dans ce flux des folies .

Je nageais entre deux courents Évidemment, c'était une autre raison de pas se marrier de nouveau.. Au contraire, quatre ans après le
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divorce, j'ai épousé une autre. C'était la deuxième fois que j'ai eu tort.

À ce temps entre les deux événements, j'étais à Paris pour faire des études en littérature. J'étais sombré dans cette histoire d'amour qui débutait à Damas, ma ville d'origine, et qui était né au coeur de mon premier mariage!

Par la chance de diable, ma deuxième femme que j'ai rencontré à Paris devait avoir su l'existence de cette affaire par ma propre confession oiseuse , plusieurs mois avant qu'elle ne m'ait épousé. Il faudrait , en effet, avoir pensé, comme un homme raisonnable, que ce serait un poison mortel si j'ai une autre vie commune après, surtout en mariage officiel. Mais je ne l'ai pas fait, faute d'existence d'une considération daptée et à cause de ma bonne foi. Peut-être j'ai aimé montrer une confiance exagerée en moi-même , une sorte de vanité idiote de se comporter ainsi . Elle ne ferait pas la même chose si elle avait eu une affaire du coeur dans le passé (elle devrait avoir naturellement comme toute autre célibataire européenne). En tout cas elle n'avait jamais oublié cette erreur de ma part .

Maintenant, quoi que j'étais fautif ou pas, impliqué ou pas, il ne fait aucune attraction por moi et je suis toujours contre toute notion de necessité de mariage. : Mon affirmation est que la loi et quelque part ou en quelque temps les contrats de cet événement sacré sont constitués selon des règles arbitraires ou des accords accablants entre des familles du contenu matériel dont les obligations font principalement la fixation de dots pécuniaires, la compensation pour le divorce et cetera...Le reste n'étant que des formalités secondaires .

Dans certaines familles traditionnelles et dans certains pays, maintenant et dans le passé, l'objectif principal des parents doit, malheureusement, hâter le mariage de leur fille, se débarrasser d'elle le plus plutôt possible et à un très jeune âge, pour éviter tout risque de scandales comme des flirts avec une jeune personne, ou devenir une vieille fille !

Ce qui est surprenant et paradoxal dans ces circonstances sociales, c'est que les contes et histoires romantiques glorifiant l'amour existent abondamment dans des légendes littéraires ou populaires, ainsi
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que dans les films et les pièces de théâtre passés dans des locaux publiques et privés , même dans des pays ultra traditonnalistes .

Dans beaucoup de pays, en Asie, au Moyen Orient, en Turquie en Grèce et jusqu'à un récent temps, en Italie et dans d' autres, les gens écoutent au long de la journée et pendant une partie de la nuit, à haute voix toujours, les chansons préférées d'amour, très audacieuses quelques fois, répétées souvent, dans les boutiques de la rue, ou ailleurs venues des postes de radio ou de la Télévisions, parfois par haut-parleurs, attachés d'une façon permanente aus à arbres ou sur les poteaux des lanternes aux marchés très fréquentés ! Dans des taxis ou même dand des on écoute des chansons très douces et chaleureuses que le conducteur les avait choisies à l'avance , ensuite lancées librement, pendant son itinéraire, sans demander même le consentement des passagers.

Actuellement, et d'une façon plus généralisée , au monde entier, par les écouteurs attachés aux oreilles , pendants sur la poitrine pour être liés au bout des appareils genre enregistreurs CD,DVD ou immagasinés dans d'autres réceveurs i Pod de plus en plus petits ... C'est la musique et les chansons, mais la musique et les chansons d'amour !

Je ne suis pas contre les chansons d'amour, ni contre l'amour tout court , mais je suis rebelle contre le dérournement d'esprits, le camouflage des taboos et la schizophrénie morale dans les relations sociales entre hommes et femmes .

Ces tabous, existent toujours. "Vous n'ouvrirez pas cette porte" et les couples sont amenés, à cause des traditions, à les cacher tout le temps à l'autre, mari ou femme en premier lieu, ensuite aus membres de leurs familles respectifs et sauf exception, leur amis , pour enterrer, une fois pour toutes, ces "gaffes", ces " erreurs et actes déplacées'' ou ce qu'on appèle une ''défaillance morale du comportement social'', jusqu'à la fin de leurs vies .

Quant à moi, Il n'étais pas dans mes normes et je m'interdisais pas à voir qu' une belle et intelligente femme intervenir dand ma vie . Je n'étais pas habitué , en fait, de refuser de telle chance à toute circonstance de vie adulte (même pour un jeune marrié) et je l'ai fait volontier .

Je suis devenu donc habitué à aimer la femme dans un monde où
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on la respecte . Je croix qu'une société qui ne fait pas place au respect de la femme qui incarne l'amour sur terre c'est l'enfer .

J'ai continué donc à demander des sentiments toujours plus forts.
Je n'étais prêtre, ni un strict réactionnaire résevé . Mais je rencontrais souvent l'échec amoureux, dans ma jeunesse et quand j'étais marrié, à part le seul amour entre ces tentatives amoureuses, qui s'est produit à cheval entre les deux marriages .

Croyez-moi que tout était allé comme si j'étais conduit par un phénomène fatidique et inéluctable. Cet unique amour réussi a pris fin seulement il y a quelques années. Il n'y avait aucune raison concrète de la séparation entre nous si ce n'était pas l'accumulation de plusieurs événements qui sont apparus simultanément et ont terminé cette relation.




Chapitre 2


Autant faire ce que j'ai aimé, l'inquiétude était là . Les occaasions et les résultats satisfaisantes des évènements n'arriveront pas toujours ensemble. J'ai pensé qu'il était imprudent de faire un rêve dans chaque cas. J'ai exagéré beaucoup. Tel étaient un peu l'image de mes souvenirs du passé. Je dois croire qu'ils étaient probablement finis, que je n'ai jamais compté les rencontrer de nouveau. Je prie le Ciel à me dire où ils se sont emportés. Que je dois faire s'ils devaient refuser de me laisser souhaiter le retour ? Il ne saurait rester rien pour moi. Je n'ai jamais pensé à éteindre la torche qui a une fois éclairé ma vie. Je veux continuer à revivre les souvenirs et les rêves du passé et me nourrir de leur sève, jour après jour, heure après heure. Où sont les souvenirs agréables des jours de bonheur, gardés profondément dand mon coeur, qui pourrait lentement apparaître du tempsà l'autre comme une brise venant du paradis ? Mon coeur bat éternellement pour appuyer leur existence. Je devait comprendre quand même que rarement tout était infortuné! Un proverbe anglais ditn dit : {une bouilloire observée ne fait jamais bouillir} je dont le croit. La prière pour ceux étant sur le point perd l'espoir.

En rond tournait ma tête implacablement. Je n' aurais pas comporté comme les autres de ma génération,en particulier conformistes ou liés profondement aux traditions (si non timides !), mais j'ai été attiré par les événements de 1968 et je suis devenu vraiment adulte .En fait j'avais une raison personnelle d'avoir été ainsi, c'est que j'étais un fervent compatissant et peut-être membre de souche des nouvelles tendances des
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jeunes même avant cette date, quand j'étais presque adolescent. Je suis même allé plus loin que font la plupart des tendances mdernes . Un petit rebelle de l'époque .Donc , je tenait beaucoup à devenir une sorte d'existencialist réel , un camarade sur-terre-ferme dans mon pays et quand j'ai atteint l'Europe.

Cependant, n'ayant rien dans mon coeur de ces agitations sentimentales, il y a déjà longtemps, je me suis senti énormément terrorisé par le déroulent du temps qui passe ! Je ne prends plus du tout ma dose de l'imagination ou de la fantaisie comme avant . Je suis étourdi, épuisé, frappé de terreur , me trouvant parfois très mal à l'aise, fané, attardé sur quelque chose que je ne connaissais pas . En bref, pour ainsi dire, je suis usé, en complette querelle avec l'âge, la fatigue et la solitude .

Je manque ineluctablement le passé malgré l'échec. Dans le retour à cela, je dois dire que j'avais de courts moments de bonheur , qui ont donné la paix à mon coeur et m'ont laissé avoir le sentiment d' être mérité, alors fier. Peut-être je ne devrais pas avoir porté tant des souvenirs des affaires du coeur, dissimulées mais jamais disparues. Dans cet ordre des choses je ne pouvais pas m'empêcher à faire quoi que ce soit pour les retenir. Ma subconscience n'est pas apparemment vide et les soucis doivent avoir été présents à tout moment, mais je n'ai jamais oublié l'élément essentiel : aimer.

On peut avoir pensé que je n'étais pas très sérieux ou minitieusement sage pour éviter toute maladresse ou dérappage, surtout pour ne pas endommager continuellement mon coeur fatigué. Toutefois, il n'y a aucune objection de ma part , à l'age que j'ai de rencontrer l'amour à nouveau. On doit y avoir un premier, un second, un troisième amour ou plus pour chacun; c'est la nature qui voulait ça . N'est ce pas ? Il y a l'amitié aussi dans les rapports humains, mais un homme raisonnable ne doit pas mélanger les deux sentiments : amitié et amour. Il est très dangereux de faire ainsi.

À propos, je conçoix mal une amitié , entre homme et femme,qui dûre pendant une longue période et qui ne finisse pas normalement par une sortie convenable et commode , par exemple avoir des sensations émotionnels ou faire l'amour. "Attendez et voir" n'est pas entièrement valable, ni conseillé, dans ce cas là !

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Nullement je ne suis désespéré et je ne suis pas l'homme impair aussi. Je n'ai jamais dit que je dois renoncer à l'amour. Or, comme les choses sont, je suppose spontanément il y a actuellement des circonstances passagères partant toutes les heures, qui n'ont jamais duré longtemps. Finalement, je pense sans avoir des soucis que je vais peser bien les choses au moment venu s'il sera nécessaire de les arranger comme il faut , je veux dire si je vais à avoir tout faire dand ce domaine. Je n'échouerais pas à aimer le présent s'il est a apporter quelque chose. On dit que le mieux est l'ennemi du bien! Chacun a dû mieux s'amuser et profiter du tout quand il pourrait, n'est-ce pas ?

En fait, je pourrais aussi rester où je suis, tant l'âge me permet d'être d'une vitalité suffisante et tenir ma fonction intellectuelle intégrante, sans à avoir le moindre tressaillement, sans avoir le besoin de changer ma voie et renoncer à mon principe de base, de commencer de nouveau à partir de zéro à tout moment . Je ne suis pas un homme affairé, mais au juste milieu entre une préoccupation nulle et énormément des coucis materiels ou non .

Comment être bon de s'affairer vraiment si se n'est pas la déception et être enterré seul avec ses soucis dand la nuit du temps ? Comment je je dois me sentir fier donc , quand je suis dans le moyen cours ? Délivrez vous êtres humains ! Vive la liberté ! Et en bas avec la conformité ! N'avait-il pas George Bernard Shaw le mérite pour dire : "que la vie ne soit qu'elle est une série de folies inspirées ?" Est-ce que ce n'était pas une énorme primauté ce qu'il a dit?

Ne soyer pas donc étonné si je dis que je dois seulement être écouté, et m'assurer d'être au moins sur la bonne voie. Chacun devrait avoir confiance en l'autre comme il peut . . Si quelqu'un désirant amicalement faire de son mieux et vouloir aider, il ne vous fera pas faux bond ! n'étant aussi sourd qu'un pot. Pour ma part je me prétends sérieux et digne de confiance et vous assure que je n'ai jamais été chercheur de frissons ! C'est un ennui affreux. Je n'ai pas fait pour être ainsi.

En réalité, le fanatisme et l'intolérance ne sont aucunement mes favorits. Vous pouvez difficilement attendre de moi que je les admette des autres ou que je me permette de les admettre de moi-même. Je suis damné si je peux les avoir le moins du monde à présent et jamais. Ils ne ressemblent en rien à des caractéristiques d'âge comme les gens les
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considèrent tellement naturels à l'âge avancé .

Comme le destin l'aurait voulu, je vais vivre comme je suis. Heureusement, après réflexion, j'ai décidé de développer un motif pour me détacher de la solitude : ne pas refuser l'entrée au champ des sentiments de non-effort ! de laisser passer les choses, puisque j'avais peur des années qui passent et provoquent la plupart des sensations douloureuses de perdre un jour la puissance d'aimer. Alors, j'ai prévu un moment d'agir qui arrivait rarement ce dernier temps..Accueillir l'arrivée d' une nouvelle complaisante rencontre avec une merveilleuse créature nommée Charlotte. Elle a presque vingt-neuf ans d'âge, mal mariée et mère de deux enfants.

C'est le grand évènement de l'année . Âgé mais d'un coeur jeune et ouvert, Je souhaite le bonheur pour moi ainsi que pour l'autre vivant aussi dans la liberté la plus grande.



Chapitre 3


Les accidents arriveront quotidiennement, mais dans une soirée froide, pluvieuse et venteuse comme celle-là, pour obtenir la connaissance de Charlotte est une chose rare dans la vie courente . Je l'ai rencontrée par hasard près de la porte sortante de la station Sainte-Lazard donnant sur le côté gauche. Elle était debout sur le trottoir la rue bordant la station et cherchait un taxi allant vers Paris-Nord, le Métro étant en ce moment là le plus entassé des passagés dans ces heures de pointe.

Alors j'étais exactement là, tremblant comme elle dans cette soirée froide, attendant à côté d'un taxi la descente d'un client avec ses bagages, pour être le premier à le prendre en allant chez moi à Paris-Ouest. Donc, nous étions sur les deux côtés opposés de la rue . Sur le moment où je serait entré dans le taxi vide, je l'ai regardé de nouveau et lui ai appelé instinctivement par le moyen des signes pour venir vers notre côté. Elle a hésité un peu en simulant ne pas avoir prêté l'attention à mon geste. J'ai tapé alors très légèrement sur le dos de la voiture pour expliquer mon intention. Elle a compris la signification et est venue presque souriante. J'oservais son passage, frappé de doute qu'elle attenderait de moi un arrière coup ou un flirt gratuit dans cette heure un peu tard de la soirée ...
Étant exclu de faire ainsi, personne ne pourrait dire que j'avais l'intention de me jeter sur elle ou que je profitais des circonstances.

Quand elle est arrivée j'ai dit : "je peux vous déposer au cours de mon chemin là où vous voulez. Il est difficile de trouver un taxi à ce temps pourri ". Elle n'a pas dit non. La voiture a démarré avant que le chauffeur demande où nous allions, faute de patience de sa part . Elle a dit dans quelques mots timides : "je souhaite que vous me laissiez déscendre
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au Boulevard des Italiens si ça vous dérange pas". J'ai promptement dit "Ne font pas attention. J'ai tout mon temps "et j'ai remarqué que les termes étaient trop commodes. Il semblait que je me suis comporté comme si
j'étais familier à elle ou comme un vieil ami. Elle m'a fait un petit sourire.

Après cette courte conversation nous avons tenu le silence, le chauffeur étant conduit automatiquement vers le Boulvard.

Non plus loin que deux minutes, nous avons entendu un grand bruit, c'était un accidet affreux produit avec une autre voiture. Le conducteur a freiné durement et le taxi s'est arrêté soudainement. Il y avait des insultes, une forte disscussion avec l'autre chauffeur; un policier est venu immédiatement pour voir ce qui est arrivé et qui était responsable de la faute etc etc..

Le conducteur s'est retourné disant qu'il serait impossible de continuer la route. Je lui ai payé une certaine somme et nous avons commencé à marcher presque distrait. J'ai remarqué soudainement que quelques gouttes de sang coulaient sur le visage de mon accompagnatrice. Je l'ai avertie de la petite blessure. Elle a touché ses joues et dit : "Je ne sens rien du tout". J'ai dit "il serait mieux de rechercher autour de nous une pharmacie quelconque ou bien entrer dans un café, plutôt sûr d'être ouvert, ensuite vous pouvez voir s'il y avait quelque chose d'inquiétant" . Elle était d'accord et nous avons trouvé pas si loin un café ouvert.

Là, tout a commencé. La lésion n'était pas très importante après le lavage et le nettoyage du visage. J'ai pris une tasse de café, elle une tasse de thé.

En attendant, nous avions une conversation brève sur le temps, le travail, le trafic etc. Alors elle a dit : "j'ai oublié de donner mon nom,Charlotte et vous ? "

J'ai prononcé souriant mes coordonnées en détails : prénom et nom de famille, les deux complètement, puis mon adresse et mon âge et j'ai ajouté pour faire rire ma longueur et mon poids. Elle a ri.

- "Je suis marrié. Mon fils et ma fille aussi", j'ai ajouté cela pour compléter la déscription de mon état civile .

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Elle a dit : " Moi également suis marriée ; mais mes deux enfants, un garçon et une petite fille, sont plus jeunes que les votres : cinq ans pour le garçon et seulement trois pour ma fille".

Elle a continué la parole sans cesse, à mon entier étonnement : "étant separée avec mon mari depuis deux ans, , j'espère pour longtemps
( ! ) je vis seul avec mes deux enfants. Je travaille comme secrétaire d'un avocat. Et vous ? êtes vous un docteur, un ingenieur ou..." J'ai dit : je suis docteur, pas en medecine mais docteur es lettres?" .

J'ai ajouté : ''Je suis également un romancier-amateur depuis un certain temps, mais je n'ai publié aucun de mes oeuvres". Elle a dit : "Hélas ! Vous devriez le faire et non gspiller votre temps! "

J'ai répondu avec une voix plutôt timide : " En effet, c'est agréable pour moi d' écrire sans gagner de l'argent, je le crois vraiment, parce que je n'ai aucun besoin à avoir écrit pour vivre". Elle a simulé certain interresement sous un demi sourire : "j'espère vous changerez d'avis". Je n'ai rien dit , mais j'ai ajouté après cela quelque chose comme "j'espère que vous avez eu raison".

Elle a fait un petit moment de silence, puis elle a dit soudainement : "mon mari est un membre de Medecine de Monde en Afrique et reste très peu ici, je veux dire chez ses parents ''. Elle a ajouté, très sérieusement : " Étant toujours séparés, je souhaite pour longtemps( de nouveau elle a répété ça), il doit me demander l'autorisation s'il doit voir les enfants. Je ne proteste pas sil viendrait pour cette raison là . Il était toujours consenti ainsi entre nous pour savoir si j'étais capable de le recevoir".

Je l'écoutais avec intérêt et pesais les mots très prudemment pour ne pas faire des commentaires maladroits sur ce sujet délicat .

Elle a fait un regard rapide à sa montre et dit : " Si ce n'était pas pour ma famille, je resterais plus longtemps et aurais plus de conversation avec vous. J'ai le temps très court en effet pour rester encore. Excusez-moi. Mes enfants doivent être maintenant sur leur route à la maison revenant de la partie de leurs amis ''..... ''Je vous donnerai un coup de téléphone demain ou après demain. Pourriez-vous me donner votre numéro de téléphone ? Elle a ajouté : "je préfère que vous ne me téléphoniez pas chez moi ces jours-ci. Mes enfants ne devraient pas
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connaître à présent". Je me suis demandé " connaître quoi? " . Cela devait mettre en question si elle a voulu dire que je devrais être "caché " ; mais je n'ai pas dit un mot , seulement j'ai souhaité à elle un bon retour à la maison, juste à temps.

Elle a dit: " Il pleuvait à flôts tout le temps , mais il parait qu'il va devenir clair. Je dois aller maintenant; merci. Au revoir".

Elle a serré ma main chaudement, comme si j'étais une vieille connaissance et elle est partie seule.

Je me suis dit: "je souhaite qu'elle tienne ses paroles" et suis resté pensant à l'arrivée chez moi . Ma femme n'a rien damandé où j'étais, comme d'habitude ..

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Peu importe combien peut être dangereuse cette rencontre avec une femme étrange qui m'a emporté à la sortie de station Sainte-Lazard. l'aventure doit être faite et m'amener vers une histoire imprévisible, peut-être trop tard dans le courent de ma vie.

J'ai peur seulement qu'elle ne serait pas une de ces affaires du coeur de troisième âge ! Ghoete, Victor Hugo, Picasso, Aragon et d'autres sont toujours célèbres à cet égard avec plus ou moins de succès. J'ose dire qu'il y a aussi une grande différence entre nos âges; presque deux fois. . Mais si nous différons avec l'âge, nous sommes semblables dans la solitude. Quant aux sentiments je ne peux rien dire maintenant. Quoi que le résultat peut être, je continuerai, parce que quiconque peut avoir rencontré une femme jolie et gaie comme Charlotte, il risque de tomber amoureux.. Elle peut se glisser dans le coeur comme une joie inattendue, comme le Père Noël montant sur la pointe des pieds à la chambre d'enfant pour apporter des cadeaux!

Quant à ma vie conjugale quotidienne je ne peux prévoir rien encore. Si Charlotte a téléphoné ces jours-ci, il n'y aura aucun problème sérieux. Ma femme a eu l'habitude de ne pas toucher le récepteur quand je suis à la maison. Si, par contre, quelqu'un doit appeler pendant mon absence, elle tient normalement compte de cela et elle me parle de n'importe quelles communications ou messages enregistrés sur le
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répondeur venues des personnes connues ou pas, quand je reviens, sans poser des questions ou faire des commentaires. Elle ne fait pas ainsi dans la crainte de causer des problèmes et provoquer ma colère, mais parce qu'elle a eu l'habitude de faire ainsi . Elle croit sans aucun doute que faire l'opposé devrait être si stupide de détruire notre vie pour des choses insignifiantes. Confidance est assuré. En fait, elle est un peu déprimée par des problèmes de santé et occupée par son travail d'un côté et des affaires de nos enfants de l'autre côté. Par conséquent elle est moins intéressé des gestes et du comportement extérieur de son mari .

J'avais tenu beaucoup à ce qu'elle doive téléphoner, de m'assurer au moins qu'elle n'a pas oublié sa promesse.

J'ai décidé que rien ne m'empêchera d'ordonner ma vie de nouveau et rien ne me laissera tomber ou repoussera les ambitions que j'ai eu l'habitude d'impliquer et j'avais peur qu'elles devaient échouer. Cela abuserait l'empleur de toutes mes dernières pensées. Que Dieu l'interdise qu'il soit arrivé!

Elle a donné un coup de téléphone seulement une semaine après notre première rencontre. Il était un matin d'un dimanche ensoleillé et sans nuages pour me dire qu'elle avait deux places à un concert dans la salle de Radio de France, et elle m'a demandé si cela m'interresse et si je consens à l'accompagner. Elle a dit : "c'est une invitation gratuite, il ne coûte rien . J'espère vous pouvez venir. Ma soeur s'occuperait des enfants et ils peuvent aller ensemble dans le parc des Buttes Chaumont l'après-midi. C'est ainsi que je pourrais assister au concert ". J'ai répondu avec confirmation et présenté mes remerciements.

La conversation était vraiment courte, mais très confortable et directe. Tout le doute de sa sincérité est ainsi exclu.

Donc je l'ai rencontrée de nouveau et l'aventure continue drôlement et facilement.








Chapitre 4


Je n'oublierai jamais le concert de Radio de France. Rarement j'ai passé deux heures plus agréables : Chopin, Brahms, Lizst ont été joués et Charlotte a été gaiement enthousiasmé par la performance et l'éxcellente intrepretation magnifique des oeuvres de ces geants compositeurs . J'ai aimé sa façon d'écouter et son plaisir infantile.

Dans l'entre-acte nous avons abordé chaque question du monde de la musique, de compositeurs de génie, d'auteurs célèbres, de philosophes, d'avocats, mais rien qui nous concerne . . Elle a semblé me prendre pour un simple copin d''une connaissance banale d'ici et là de la camaraderie, rien d'autre. Elle s'est livrée au papotage, non certainement comme une femme bavarde dans ce temps qui s'est envolé rapidement,le tenant ainsi indépendamment d'une certaine position discrète de sentiments ou attitudes communes d'hommes et des femmes dans les domaines d'innombrables affaires du coeur, telles les avaient ces grands compositeurs que nous avons suivis ici... C'était plus inquiétant pour mon projet et trop dur pour mon coeur ! J'aurais voulu dire que je l'aimais ... Dire au moins que je l'ai appréciée, mais les mots m'étaient échappée et et égarées très loin , ce qu'était probable dans mon cas( considérant l'âge, peut-être) .

Plus les émotions étaient buillantes, moins les réactions étaient occasionnellement exprimées ! elles ont été ainsi quand les circonstances
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diffèrent. J'ai dû avoir plusieurs raisons pour être inquiété. La première : Charlotte est moins liée socialement que moi. Elle est séparée, vivant sans obligations contraintes du mariage. Deuxièmement, elle est belle, ne manquant rien pour attiser le feu dans les coeurs et les âmes les plus endurcis , alors on ne pourrait pas éviter toute tentation de flirter avec elle par beaucoup des gens. La troisième raison, c'est que j'ai montré mon interressement à elle uniquement par les regards et les signes au début de notre histoire ( elle n'est pas trop lointaiene). N'était pas moi qui l'ai distinguée parmi une foule dans la rue pour partager avec moi le taxi quaund il pleuvait le jour de la station Saint-Lazard ? Seulement j'ai manqué des mots.

Etre en parfait accord ! C'est ce que les gens disent à cet égard quand il y a une certaine entente entre deux êtres. Il faudrait pour réealiser ça un effort fourni par chacun . Pourquoi elle n'a pas voulu faire quand je l'ai fait moi-même ? Elle devrait comprendre ça si elle était est une femme réellement . Elle n'est pas dans ses année vingt. Prsonne ne refuse de prendre la fantaisie d'amour et du bonheur, les femmes d'abord.

Je trouve qu'elle se tromperait énormément si elle pense le contraire, à moins que son refus ne soit justifié. Le temps décidera, tant que j'ai une certaine obstination . A la fin du concert elle n'a pas accepté ma proposition de boire quelque chose dans un cafét. Il y avait toujours le problème des enfants ici et là qui doivent rentrer et l'empèchent à chaque fois d'être libre. Il est normal qu'elle ne devrait pas être une mère dure avec ses enfants à cause de moi. Mais je dois tenir compte que notre relation, si j'ose dire une relation, n' a plus qu'une petite semaine !

J'ai dit : "quand je pourrais vous voir alors ? " .

Elle a répondu avec un ton rassurant : "je sortirais avec vous la semaine prochaine si les enfants me laisseraient faire".

J'ai dit : "j'espère qu'ils le fassent" et j'ai ajouté : "il est absolument normal qu'une femme dans votre situation ne prête attention qu' à ses enfants d'abord ".

Elle a tenu le silence une seconde, puis alors elle a repris la parole : "je regretterai s'il ne soit pas ainsi, moi aussi. Bon. Au revoir".

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- "Au revoir"

Aux jours suivants, le temps était long, ennuyeux et désagréable. J'ai passé une période dure d'impatience et j'ai ressenti une certaine peur de revenir à mon affreuse solitude sans elle ... Il m'a peiné énormément d' accepter la défaite.

Elle n'a pas téléphoné. Une semaine, deux semaines, un mois.Or, une idée értange est montée alors à ma tête, une idée de très bizarre : Allez quotidiennement autour de Saint - Lazard la station, se promener dans les rues confinantes, promenant au hasard, avec l'espoir de la rencontrer en allant ou en retournant de son poste chez l'avocat que je ne connais pas l'adresse ... même faire shoping dans les magasins de la zone commerciale entre rue Saint-lazare et boulevard Haussman. Peut-être qu'elle a quelque chose à acheter !

Faire ainsi, je me comporterais comme des adolescents...
Alors j'ai enlevé cette idée ridicule de ma tête , qui me fait partir dans le monde des fous !

Le gros problème c'est que J' ignorais complètement toutes données d'elle : domicile, emploi, âge, telepnone , nom de famille de jeune fille( ou celui de son mari). Rien sauf Charlotte et ayant de deux enfants. Comment puis-je la trouver ?Mystère réel . Affaire idiote réelle. Supplice réel dans ma vie. Je suis perdu.

Ma femme est tombée malade et moi je suis tombé si inquiété pour elle et pour ne pas me voir chercher Charlotte ! mais même en pensant à Charlotte qui semble être sur le point de se débarrasser de moi, son image a commencé à éclipser dans mon esprit et je pouvais à peine me souvenir de son visage et son sourire .

Deux ou trois mois ensuite, je marcais autour des Champions-Elysées et soudainement tout s'est arrêté : bruit de trafic, hurlement des voitures des pompiers et de police aussi. Tout, absolument tout .Tout sauf Charlotte qui venait souriante et brillante vers moi. Quand elle était contre moi, j'ai dit "Pourquoi" ?

Elle est devenue stupéfiée et triste : "Bonjour d'abord. Alors pourquoi quoi?" Elle m'a dit, en me regardant fixement mais amicalement
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avec des yeux tendres qui n'étaient pas dans son habitude.

J'ai répondu, nerveusement:

- "Pourquoi vous ne m'avez pas téléphoné toute ces dernières semaines ? C'était plus d'un siècle pour moi".

- "Mon mari a été ici : blessé, renversé dans un accident de sa voiture en Afrique, il est revenu pour se soumettre au contrôle médical et chirurgical. Il a suffert terriblement et a subi une opération importante à l'hôpital. J'ai dû le recevoir à la maison après l'opération, seulement pour des raisons humaines. Vous considéreriez la situation. On est toujours officiellement marriés . Il a regagné son poste la semaine dernière et tout a continué à rouler comme dans le passé ".

- "Je suis désolé , pouvons-nous boire un verre?"

- "Avec plaisir Mourad".( Elle m'a appelé amicallement avec mon prénom et j'ai été enchanté).

Dans le café, Charlotte était moins discrète. En prenant une tasse de thé elle a parlé longtemps de son mari, avec un air vague extrêmement stressé; puis elle a dit soudainement:

"Vous savez. Je pensais à vous et j'ai voulu vous donner un coup de téléphone mais chaque jour il y avait quelque chose qui m'a empêché de le faire. Je vous fais mes excuses. "

Je ne pouvais pas croire mes oreilles. J'ai tenu sa main et lui ai dit, peux être d'une façon idiote : " Je vous remercie "; j'ai été sincèrement bête, mais c'était exactement ce que je lui ai vraiment voulu dire !

Au cours de notre nouvelle conversation, la troisième de son genre, elle a réussi à me parler de ce qui est passé dans sa vie : qu'elle soit toujours fidèle à son mari quand il était absent à cause de ses longs séjours multiples à l'étranger et après leur séparation en fonction de continuité, pas à cause de quelques principes religieux ou sociaux. " C'était comme ça, non moins" elle a dit..

Quand elle a prononcé ces confessions j'ai fait instinctivement
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comparision avec ma vie privée et ai senti mon visage tournant rouge. J'ai ignoré totalement la fidélité dans le mariage sauf quand je manque accidentellement quelqu'un de sexe féminin, comme beaucoup de maris, je suppose. Je n'étais pas le premier, ni le dernier parmi des hommes. Seulement j'ai secoué la tête pour expliquer dans une moitié du geste mon admiration et dans l'autre moitié mon étonnement, particulièrement, à mon avis, quand ils ont été séparés.

À un certain moment, son visage a changé de couleur. Elle a dit : "la semaine dernière, juste avant qu' il ait quitté Paris, j'avais au téléphone une voix féminine de l'extérieur. Je suppose de l'Afrique. Elle a demandé des nouvelles de la santé de mon mari et m'a donné son nom; alors j'ai demandé à mon mari s'il doive prendre la communucation. Il a été totalement perplexe et dit à la femme qui parlait qu'il reviendra (en Afrique) très bientôt; cela pour qu'elle ne fasse aucun souci; "il s'est bien rétabli", a-t-il dit. Or, la façon de parler à cette créature a montré qu'il lui avait parlé déjà soit à l'hôpital soit à la maison quand je travaillais dehors ou allais chercher de médicaments pour lui, le porc .. ".

Elle n'était pas vraiment triste dans l'énonciation tragique de ce qui est arrivé, mais évidemment très fâchée. Quant à elle, il a abusé de son hospitalité si ce n'était pas de sa fidélité conjugale. Je n'ai prononcé rien.

Elle a conclu qu' à cause de tout cela elle ne sera pas la même femme; "Jamais" elle a accentué le terme et j'ai été secrètement enchanté du résultat je l'ai entendu !

Chapitre 5


Chaque samedi ; la soeur de Charlotte cherche les enfants et nous avons été libres comme deux oiseaux dans le ciel. Excursions, randonnées, visites de musées, concerts d'après-midi, toute sorte de divertissement et activité culturels, souvent nous faisons pas l'amour.Elle n'était pas fameuse dans ce domaine. J'ai consenti à faire plus de flirts et de baisers qu'une autre chose. Notre relation était surnaturelle, sublime et subtile et j'ai appris à être net, approprié et un peu chaste comme elle ! Nous étions heureux et transportés. C'était le plus important dans cette vie difficile . Cette voie d'exercice spéciale de sentiments me laisse considérer, paradoxalement, que je n'étais pas un adultère réel. Au contraire, je suis devenu plus conciliant avec ma femme; à condition qu'elle ne doit pas connaître ce qui arrive tous les samedis. Elle sera énormément jalouse comme toutes les femmes, indépendamment de la nature de rapport extérieur. J'ai continué, cette fois, sans chacun complexe, ma nouvelle façon d'aimer. Seulement j'ai continué à ignorer ses co-ordonnées. Rien de nouveau dans ce domaine. Les rencontre de samedis, toujours dans la même heure et sur la même place, nous épargnent de donner un coup de téléphone à l'avance et éviter l'attente ennuyeuse et d'autres problèmes d'organisation des rendz-vous ... Nous avons continué la même méthode sans commentaire. " C'est comme ça", comme elle a dit.

Je pense toujours : Est-qu' elle est amoureuse comme moi ou elle a simplement commencé à devenir ainsi pour se comporter comme elle le fait après le départ de son mari ? Comme le fait quelqu'un qui se noyait,


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il essaye de saisir une paille pour se sauver. Ce n'était pas un indice d'utilser des expressions montrant les sentiments haineusx contre "le porc" comme elle décrit son homme ? J'espère que ce ne soit pas vrai.

Elle semble sérieuse et encore elle a réussi à me decevoir dans la dissimulation de beaucoup de points de ses co-ordonnées. Rien ne pourrait l'empêcher pour faire ce qu'elle aime. Tout pourrait mal tourner avec elle, néanmoins elle garde le sourire et moi je marche malgré le danger!

Un jour je me suis demandé : est-ce que je suis un homme égoïste, n' ayant confiance aux autres et borné ? Comment puis-je douter de la femme qui vient innocemment me voir avec le meilleur désire de nous nous trouver ensemble dans une situation de compréhension agréable ? Je ne peut pas m'empêcher d'avoir l'impression que bien qu'elle soit marriée, elle aussi insouciante que moi . Nous sommes donc quitte .

J'ai rapidement renoncé à ces idées idiotes, Charlotte prouvant chaque samedi des choses plus bienveillantes et des gestes généreux. Je n'ai pas hésité à lui donner une fois une bonne somme d'argent qu'elle emprunterait pour compléter l'avance du prix d'un appartment qu'elle a voulu achèter, dans l'attente du prêt de sa banque le mois suivant. Elle a dit qu'elle rendra l'argent aussi vite qu'elle a fini les formalités du contrat. J'ai dit : "il n'y a aucun problème, j'ai confiance en vous".

Ensuite, nous n'avons pas parlé longtemps de ce prêt, mais sulement des choses agréables et légères, très peu importantes .

La semaine dernière, il faisait un temps merveilleux à chaque jour qui m'a encouragé à me promener nonchalamment dans le Parc de Vincennes que je n'avais pas visité depuis un siècle, sur l'opposé de ma résidence dans Paris-Ouest. . Là j'ai perçu Charlotte marchant avec un bel homme, aussi âgé que moi. Il était un mardi ensoleillé , avec un air pur, réchauffér un peu . J'ai passé d'elle à cinquante mètres de distance, sans montrer ma présence dans le parc. Elle savait que je faisais rarement la marche à pied sans elle.

Samedi je n'ai pas dit un mot sur cet événement. Elle non plus, et elle a continué d'être de plus en plus gentille et gaie .Mais il y a trois jours je l'ai vue avec un autre homme dans la Galerie Lafayette. Elle m'a vu aussi et est venue avec l'homme pour me le présenter et ne lui me présenter, avant qu'elle nous a qualfié chacun d'entre nous comme "ami",
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elle a ensuite ajouté quelques mots de non-sens et m'a dit normalement : "Je vous voix samedi .Bon. Au revoir".

L'homme a dit avant d'aller "très enchanté". Je suis venu à la maison avec une tristesse valante, en m'assurant qu'elle ne viendra jamais samedi. Elle doit m'appréhender et éviter ma colère, à moins qu'elle ne soit folle.

Elle est venue, cependant, comme elle a eu l'habitude de faire chaque samedi, marchant gaiement sans aucun souci. J'étais très fâché et ai dit immédiatement : "vous venez à mon samedi comme vous le faites mardi et mercredi pour les autres personnes aussi. Avez-vous organisé une planification des autres jours de la semaine pour rencontrer d'autres hommes dans ce monde ? "

Elle a souri froidement et a ouvert son sac à main pour me donner une liasse de bancnotes et a dit : "c'était pour vous que j'ai demandé à de vieux amis de me donner cette somme pour rembourser l'argent que vous avez prêté il y a longtemps . Malheureusement je ne pouvais pas avoir plus que la moitié de votre argent. Je dis merci quand même et je promets de payer l'autre moitié dans les semaines suivantes. J'ai fait tout parce que j'avais peur que vous ayez besoin de la somme. En fait, il y avait de longue date queje l'ai prise "

- ''Je ne veux pas cet argent . Je vous le donne ".

Elle a dit :" j'insiste. Sinon cette rencontre sera la dernière dans notre vie ".

J'ai pris la somme, au visage timide et perplexe. Je me suis dis "Quel désordre! Si tout cela continue je deviens fou . Je ne suis pas totalement convaincu. Comment pouvez-vous discuter tout cela avec moi ? Je ne suis pas idiot. Je ne le fais jamais''.

Étant surchargé de tension, notre rendez-ous est devenu court. Je suis venu à la maison triste et abattu. Le jour qui m'appartient, suite au choix de Charlotte, est terminé !

Je me suis souvenu elle a dit à la fin de notre réunion : "à la prochaine" qui a signifié probablement "à bientôt", mais en réalité c'était très longue la semaine entre les rendez-vous, comme je me sens à présent.
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En comprenant la gravité et la complexité de situation, j'ai décidé de rester à la maison le long de la semaine jusqu'à samedi. J'ai eu peur et j'ai été découragé de faires des courses ou aller me promener dans le marché à pied ou entrer dans des jardins des rues,pour éviter de la trouver avec un nouvel homme!

Avant le jour du samedi j'ai reçu une communication par téléphone de quelqu'un que je me suis souvenu à peine de son nom. Il a dit "j'ai trouvé votre nom sur la liste d'adresses à l'annuaire. Je vous ai rencontré à la Galerie Lafayette la semaine dernière (c'était plus d'une semaine en fait) Quand j'étais là avec Charlotte. Je voudrais vous voir Instamment si vous pouvez ". Je lui ai donné un rendez-vous dans un café près de la station Saint-Lazare à sa convenance et suis allé immédiatement.

Dans le café je l'ai vu être assis seul dans un coin sombre à l'intérieur. Il attendait impatiemment et a commencé la conversation dans l'énonciation affreuse comme suit: "nous sommes tous les deux et pouvons être plusieurs d'autres, les victimes d'une femme d'escroquerie laide".

J'ai tremblé de haut en bas et ai dit "Comment" ?

Il m'a raconté comment il a rencontré Charlotte près de la station (la même) et comment elle lui a donné un jour par semaine (exactement comme moi, mais le mercredi) comment elle a emprunté de l'argent dans l'attente d'un prêt de sa banque. Il a dit "j'étais idiot et stupide. Je lui ai donné ce qu'elle a voulu; mais quand je vous ai vu dans la Galerie Lafayette et ai contemplé vos yeux , j'ai douté de quelque chose de vague et faux.Maintenant, comme j'ai un ami dans la police, je lui ai demandé s'il connaît quelque chose d'elle. Il était dans le doute d'abord qu'elle soit nommée Charlotte et avec ma description de son phisique et parlant de ses habitudes . Il a reconnu la femme et a dit qu'elle est connue à la police mais il a ajouté qu'il a souhaité qu'il n'était pas trompé de la personne, j'ai dit que je suis sûr qu'elle est la même ".

J'ai commencé à trembler par la colère puis essayé d'écouter la suite de cette terreur.

"Imaginez, il a dit, quand on pense qu'elle est célibataire, non marriée,n'ayant pas un emploi, n'ayant pas la charge d'enfants, ne vivant
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pas à Paris, n'ayant pas un numéro de téléphone, ni une carte de crédit avec un compte dans une banque sur la terre ... tout ce qui est un scandale épouvantable"

J'ai dit : "je ne crois pas un mot dans ce que vous dites. Pourquoi et comment elle pourrait rembourser ses dettes. Elle m'a donné la moitié de la somme qu'elle me doit, il y a trois jours"

Il a dit "Avec mon argent, mon cher!"

"Tout ce qui est calomnieux et insultant, j'ai dis, vous déshonorez cette femme avec ces accusations stupides" et j'ai quitté le café sans dire au revoir.

Les jours suivants, il a essayé de me joindre au téléphone. J'ai raccroché à chaque fois.

Une nouvelle voix est entrée en oreilles. Cela doit être le premier homme marchant dans Parc de Vincennes avec Charlotte, sans aucun doute trouvé par le deuxième, formant tous les deux un paquet de loups hurlant toujours contre Charlotte et moi. Je l'ai laissé se taire et l'empêché de me donner un coup de téléphone ensuite.















Chapitre 6


Charlotte, de plus en plus gentille; moi aussi, de plus en plus gentil, plus indulgent, pas à cause de sa bonté mais à cause de ma croyance dans son innocence et étant amoureux sans limite. Je ne lui ai demandé rien de mon argent et ai décidé de ne pas lui parler de ce qui est arrivé cette dernière fois de la conversation avec ses deux hommes de Sait-Lazare et Galerie Lafayette. Particulièrement ne rien dire de la police ou de la justice. Je déteste l'interférence de l'Administration dans des affaires du coeur. Ils peuvent gâcher tout. Plus, j'aime Charlotte tel qu'elle est, tel je la connaissais la première fois. Rien ne pourrait changer son image dans ma tête. Je n'ai jamais demandé de son passé, même de son présent . Je ne veux pas savoir toutes les données de sa vie, son nom, son travail, son patrimoine. Il ne m'interresse pas de compter le nombre de ses amants, si elle a ou pas des enfants, des parents, des amis ou des ennemis. Rien. Rien qu'elle, belle, gentille et gaie.

J'ose dire que j'ignore vraiment si elle m'aime autant que je fais. L'amour n'étant pas des marchandises à échanger, je ne cherche pas cette égalité stupide, ni quantité, ni même la qualité. Seulement l'AMOUR, sans définition ou mesure. J'aime voir Charlotte libre, sans aucune contrainte. Je me sens libre toujours, pourquoi elle ne le fait pas ?

Elle a cessé aussi de parler d'enfants ( la même chose pour moi, si elle en avait ou pas), de travail (peu importe en effet), d'argent (il a été
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consenti , qu' il ne présente aucun problème). Qu'est ce qu'il reste pour être heureux ?

La nouvelle chose est qu'elle fait l'amour mieux et plus fréquemment . . Qu'est-ce qui est arrivé ? Les gens ont accepté que l'amour et le sexe sont deux choses à distinguer l'un de l'autre, mais quant à elle, le sexe était peu profond ! Et pour moi c'était plus profond que profond.... ... Comme étrange la similitude entre la première période de la froideur de Charlotte et l'état de la femme orientale mariée par son père ! Dans les deux de ces cas, l'amour, amour réel, ne compte pas, ou n'existe pas, dépendant aux habitudes et aux circonstances. Pendant la deuxième période, Charlotte est toute près de la femme libre européenne, la française particulièrement, qui laisse sa haute impulsion sensuelle indépendante de ses sentiments, chose qui n'existe jamais en Orient, ou n'est pas affirmée comme telle à cause d'une réserve fausse ou peu crédible ou par une pudeur religieuse...

Pour le moment, sans chercher des raisons, nous sommes, Charlotte et moi, dans la compréhension mutuelle idéale. Chacun sent comme il aime, chacun fait ce qui est capable de faire, le libre arbitre étant le plus important dans la relation humaine, l'amour inclus.

Semaine après semaine, mois après mois, tout était bien jusqu'à un samedi, le plus sombre dans ma vie, sur lequel elle n'est pas venue. C'était un jour épouvantable, et j'ai souffert énormément. Alors, quelqu'un d'un poste de la police a donné un coup de téléphone. Il a dit que Charlotte (il m'a donné un autre nom inconnu pour moi, qui est probablement son nom réel) voudrait me parler et le policier demande si j'accepte la communication. J'ai affirmé et il y avait la voix de Charlotte : "J'ai un certain problème de justice. Quelqu'un m'a accusé pour usurpation. Pouvez-vous m'aider ?". Sa voix était faible et rauque. J'ai dit "Oui je peux. J'enverrai un avocat pour vous aider sur place immédiatement", elle a dit : "mes remerciements, je peux à peine attendre, mais je le ferai. Merci encore ".

Avant d'aller au procès, l'avocat ne pourrait épargner Charlotte de l'intermnent que par le moyen d'une caution financière que j'ai payée le même jour. Il est arrivé à rencontrer l'homme qui avait accusé Charlotte (Il était l'homme de Galerie Lafayette) et faire un compromis avec lui du sujet de la somme de différend (c'était équivalent à la moitié de mon prêt à
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Charlotte), plus les honoraires de justice etc...

J'ai été là quand elle est devenue libre. Elle a pleuré et dit, pour la deuxième fois : "je l'ai fait pour vous. Pas pour moi, comme une fois que je vous ai dit".

L'enchaînement des accusations et les procédures engagées du procès m'ont poussé à dire : "Charlotte! Il est temps de me parler de toutes vos affaires. Il sera uniquement pour éviter d'être poignardée au dos et vous potiner dans la boue".

Elle a coupé immédiatement mes mots pour me dire avec un air dur : "Poignardée par qui ?

-"Il n'y aura aucune tromperie de toute sorte à présent .. Ma vie était perturbée et j'ai changé maintenant ", très fâchée était-elle ..

J'ai dit un peu frénétiquement : "j'ai l'intention d'éviter comme préliminaire chaque souci possible .Généralement vous en me voulez pour toucher votre vie privée. Je suis d'accord avec vous que vous n'aimez pas vous voir surveillée par quelqu'un, mais dire d'avance ce qu'il puisse vous inquiéter, vous nous épargnez d' aller à la police ou devant la justice. Pourriez-vous accepter? "

Elle a semblé être ennuyée suite à cette remarque un peu vive. Elle ne m'a pas répondu, mais comme d'habitude elle a raccourci notre promenade à pied.

Avant retourner, elle a soudainement dit : "que dites-vous si nous allons et avons un peu de temps de repos ?" Sa signification était parfaitement claire. J'ai compris ce qu'elle a voulu et nous sommes allés à notre hôtel habituel faire l'amour. Elle est restée inclinée
au silence , absente et perdue de pensées.

Je croix ce sera le dernier flirt avec elle. Elle est devenue après cet événement sombre, très triste, toujours embarrassée. Elle n'a pas accepté , en effet, de supporter plus de propositions sur ce qui lui est arrivé si je l' ignorais .

En fait, j'ai commencé à craindre le refût au point mort . Ainsi je
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risque de perdre tout dans cette affaire avec la femme que j'aime. Je me suis decidé de ne plus parler avec elle de ces sujets ennuyeux. Peut-être qu'elle ne devrait pas venir à notre futur rendez-vous et qui sait, qu'elle ne me reviendrait jamais.

Maintenant je suis plus sûr de la trouver par le nom réel et le domicile réel si elle n'est pas venue. Malheureusement elle a fait.

La concièrge de son bâtiment m'a dit qu'elle a laissé son appartemant il y a un mois, sans donner une nouvelle adresse. Elle avait donc préparé d'avance mon abandon .

Je suis revenu à la maison dans la décrépitude valante à cause d'échouer à la trouver quelque part. Dans mon esprit, j'ai le sentiment d'avoir fait un dérapage désastreux et je suis perdu. Étant seul est maintenant quelque chose de meurtrier pour moi.


Une fois que j'étais assis dans la salle d'attente chez mon dentiste, j'ai remarqué avec un coup d'oeil rapide, de loin, sur un coin d'un journal à scandales, une mini image de Charlotte (cette fois avec un nom inconnu). Il a été écrit sous un affreux titre "Donner votre prix!" suivi par d'autres qualifications méprisables comme "cette actrice des séries TV de troisième classe" et " allumeuse et chercheuse d'Hommes est son travail''
et on pouvat souligner surtout les termes :" avec ses entecedants criants "etc... J'ai été transpoprté par la colère et l'humiliation; j'ai pris l'adresse de journal et suis allé au bureau de l'édition. J'ai rencontré le directeur et ai dit : "quelle honte d'écrire de tels mots dans votre journal. Je vous accuse de calomnie et du mensonge et..."

Le directeur a coupé mon discours et a dit" est-ce que vous êtes un parent ? Son mari ? "J'ai dit" non. Je suis un ami et un rebelle contre votre abaissement "

Il a dit "je vous répond franchement : Elle est maintenant à Tunis pour le tournage de la nouvelle série. Vous pouvez entrer en contact avec elle et proposer qu'elle présente, elle-même ses protestations pour faire des investigations sur cette question et nous poursuivre, pas vous. J'ose dire qu'elle ne le fera pas, parce que la majorité de personnes nous parlons d'eux considèrent notre écriture comme une sorte de publicité et que nous
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participons à la prospérité de leurs emplois, pas l'abaissement, Monsieur ! ".

J'ai dit " j'irai la chercher moi-même et essayer de toute ma force de la laisser arriver à enlever cette grossièreté, quoi que ça prend un peu d'effort, et retourer avec elle pour vous voir de nouveau".

Le jour suivant j'ai pris l'avion à Tunis. C'est une occasion de premier ordre pour rencontrer Charlotte. Parler d'elle avec elle .


Chapitre 7

Si j'ai voulu savoir où Charlotte tourne-t-elle des series de télévision en France, ce serait impossible; mais l'entendant parler d'elle à Tunis est différent, les groupes de TV français n' étant pas fréquents ou nombreux, me permet de la trouver facilement. Elle tournait avec son nouveau nom d'artiste dans le désert pas loin des énormes studios cinématographiques internationaux.

C'était une surprise inhabituelle pour elle dans cette endroit de la planète.Elle s'est levée avec une moitié de sourire : "comment vous avez pu me trouver ?Qu'est-ce qui se passe? Pour quoi êtes-vous venu à Tunis?"

J'ai dit : "j'espère que vous ne m'objectez pas à moi de venir sans avertir"

En prenant l'abri dans l'ombre d'un fourgon de TV, elle a semblé fatiguée et déprimé, mais quand elle m'a vu s'approcher . Elle a dit : "non. Je peux avoir une courte conversation avec vous, parce qu'ils m'appelleraient dans cinq ou dix minutes".

Stupéfié un peu par sa froideur, je suis entré au sujet immédiatement : "Vous savez; il y a un journal qui a mis votre image à la première page et a essayé de déshonneur votre réputation en écrivant que vous vous donner aux hommes, que vous êtes une allumeuse en ajoutant aussi d'autres qualifications agressives et grossières. Je ne pouvais pas m'empêcher de venir pour vous entendre sur ce reportage abjecte".

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J'ai ajouté froidement : "je ne suis pas venu ici exprès pour ennuyer, mais en vue de vous voir et apporter le journal qui vous a insulté pour le lire."
Elle a dit calmement : "écoutez-moi Mourad .J' ai dépassé le temps des soucis et je travaille à la TV pour gagner mon pain afin de ne pas demander l'aide à quelqu'un, Ce n'est pas un passe-temps, ni subterfuge à rouler quelqu'un ou dérober quelque chose comme une étoile rayonnante cherchant les profits chez les hommes riches. On n'interdit pas mon image.
Ma façon de vivre et mes freqentations des gens ne sont pas propres à moi, quand je suis un personnage public à la TV ou au cinema. Les hommes que le journal a mentionnés sont dans le cercle des amis anciens de plusieurs d'années . Les enquètes sur les acteurs ou les artistes ne sont pas une faute à leur yeux et quoi que je fasse pour les empêcher d'écrire de moi n'aura aucun résultat. Ils sont des ordures, excusez-moi le terme, et même il y avait une sentence, ils ne seraient jamais condamnés d'une peine de prison, mais le versement d'une amende. Ils la payent et écrivent de nouveau. ".

J'ai dit désespéré : "je peux comprendre que vous êtes donc d'accord avec cette agression. Désirez-vous refuser vraiment mon aide ? J'essaye de vous secourir et tout ce que vous faites c' est rester calme! Je n'ai pas pris l'avion et venu ici seulement pour vous déranger, je le repète, mai il y a une autre raison .Je voudrais demander pourquoi vous n'avez pas voulu me voir depuis de longue date. Quelle est l'erreur que j'ai commise ? ".

Elle a dit dans une énorme tentative d'être franche avec une voix de douleur : "d'abord, l'investigation résulte de leur prppre imagination et leur fantaisie. . Rien n'était juste, mais je proteste contre votre comportement quand vous pensez avec l'éditorial de journal, qu'il y a quelque chose qui va mal, pour parler de moi.. En tout cas c'est votre faute. Vous n' avez que vous-même à blâmer. Indépendamment de ce que pourrait faire, vous ne pouvez pas vous empêcher d'être toujours rospéteur . Je n'ai pas accepté d'adressage par les moyens de toute sorte d'enquêter sur ma vie privée dans le passé. Rien que gronder. J'ai ressenti une objection profonde et je ne pardonne pas votre souci de m'exposer toujours à des scenes de découverte de mes erreurs et vous vous laisser donné à la vantardise . Votre comportement d' agir comme ça a causé une impulsion affreuse dans mon coeur de partir et vous laisser seul avec votre doute et votre méfiance ".
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J'ai coupé sa parole pour dire : "Dites ce que vous voulez, mais je vous aime! (J'ai prononcé ces mots pour la première fois) et personne ne peut m'empêcher pour le faire, quoique périlleux qu'il soit. C'était maleureux de toute les façons, qu'il y avait une rupture seulement pour quelques mots de blâme. "

Elle a changé son humour et dit :"Cette investigation n'a besoin d'aucune réponse . Vous ne devriez pas venir pour me voir et annoncer de nouveau que vous vous inclinez devant des tumultes insignifiants. Faire ce que je pourrais, s'est soldé par un echec; attendre un autre pour le faire et changer quelque chose dans ma vie, c'était le même résultat, par ce qu'il n'y avait rien à me reprocher . Rien pour que je me soucie,moi. Laissez hurler les loups et qui aboie sera condamné, un jour,de se taire..... Écoutez-moi. Je dois tourner maintenant.Allez-vous rester ici pour quelque temps ? "

J'ai dit : "non je reviendrai avec l'avion suivant à Paris".

Elle a dit avec un air gentil : "Malheureusement je n'ai pas le temps pour vous voir avant votre départ. Pour ne pas vous inquiéter, je vous donnerai un coup de téléphone juste quand je reviens avec le groupe à la fin de notre séjour ici, afin de vousr encontrer de nouveau.".

Elle m'a embrassé sur les joues et est entrée aux pas dépêchés. Elle était dans une telle hâte qu'elle a oublié de dire "Au revoir".

Au bord de l'avion et après un voyage fatigant, je me suis donné à penser de l'énigme de Charlotte .

Qui est elle ? Ange ou diable ? Innocente ou coupable ? Il est inutile d'essayer une définition d'elle. L'énigme inquiétante est montée de plus en plus. Je dois m'occuper de l'avenir aussi. Je ne peux pas vivre sans elle. Je ne peux pas vivre avec elle sans m'empêcher de m'immiscer . Son travail m'empêche de voir ma conscience devenir calme et éviter la distinction entre ce qui ne va pas et ce qui est juste. Elle doit rencontrer les gens, des célébrités, des journalistes, des artistes, des acteurs, des scénaristes et cetera.

Je suis en train de me soumettre à la certitude que ma vie sera au fait détruite avec la jalousie. Je préfère mourrir que me trouver admettant
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l'humiliation. J'ai horreur d'être réduit à un écouteur derrière les portes. Dans le même temps j'imagine à peine lui demander de changer de nouveau son travail (quel était son ancien travail ? Je ne me rappelle pas, plutôt je n'ai jamais su). C'était toujours l'énigme s'immisçant dans ma vie et récalcitrante à sortir de mon esprit.

En considérant n'importe quel geste, n'importe quel acte, n'importe quelle rencontre dans ce domaine, comme un péché, me terrorise. Je ne m'empêche pas de croire que la retrouver changerais quelque chose. Invincible comme elle était, je ne serai pas capable de la supporter, autant qu'il soit périlleux. Il serait affreux de me trouver tombant aux conflits acharnés et permanents dans un milieu inconnu de la TV et du cinéma .. Je me demande si cela puisse se passer sans toucher à ma réputation. Je ne peux rien décider et la réconciliation avec elle m' a semblé loin d' être comprise dans les meilleures conditions .. mais je l'aime et à cause d'elle et avec toutes ces contradictions je suis devenu près de la folie. Étrange comme il peut sembler, je dois dire que quelques mintutes de flirt avec elle valent une vie!


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Les scandales arrivent avant qu'elle ne revienne de Tunis. Le journal, le même qui a écrit d'elle a annoncé qu'un homme de littérature qui attaque souvent notre éditorial (c'était moi!) a rencontré hier l'actrice pendans le tournage à l'extérieur et a préparé avec elle un nouveau complot contre le journal!

J'ai voulu dénier l'information et voir de nouveau le directeur de rédaction. Je lui ai téléphoné avant d'y aller, mais il m'a annoncé avant que je prononce un mot qu'il a juste appris que l'avion qui transporte le groupe de la TV s'est écrasé ce matin et tous les membres du groupe sont morts. "Pour tout je connais", il a dit "Charlotte était parmi les victimes".

Je mourrai de douleur à coup sûr, en désespoir absolut.


La fin






































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